J'ai quand même laissé le Canadian Hole avec la larme à l’œil. Voici les dernières images que j'en ai:
Mais là où c'est carrément tombé dans le mélodrame, c'est quand je suis allé manger pour la xième mais dernière fois à mon restaurant mexicain:
Après le repas, je suis allé serrer la main du propriétaire, en lui expliquant que je quittais. Puis je l'ai gratifié de deux des vingt mots d'Espagnol que je connais, mais avec un accent parfait: "Adios, Patronne". Et là, il m'a dit d'attendre un instant et est allé me chercher un magnifique T-Shirt, qu'il m'a donné en précisant: "Pour pas que tu nous oublies".
Bin, je vous le dis, on braillait presque comme des veaux. Mais trêve de sentimentalisme, je sais ce que vous voulez, c'est mes stats détaillées: les voiles et les planches que j'ai utilisées en pourcentage, comme j'ai l'habitude de le faire. Désolé, vous les aurez pas.
C'est que je me suis rendu compte que le matos que j'utilise n'a pas beaucoup de rapport avec la réalité. J'ai finalement compris ça la journée où j'étais en 8.4, alors que mon ami Éric se disait surtoilé en 7.5. Le gars pèse au moins 60 livres de plus que moi.
Tenez, avant hier, je voulais partir en 7.4, mais Loopee me faisait des gros signes de désapprobation, alors je suis parti en 5.7. J'ai fini par l'écouter, mais j'ai failli mettre une veste de flottaison tellement ça m'insécurisait. Grosse surprise, je planais tout le temps.
Donc, tout au plus, je vous dirai que j'ai planché 27 jours sur une possibilité de 34. Donc, 7 jours pas de vent mais savamment espacés pour avoir l'impression qu'il a venté tout le temps.
En tout cas, j'ai adoré le Cap en mai. Peut-être qu'il y a moins de grosses journées qu'en avril, mais vous savez quoi, c'est tellement agréable de plancher en shorty.
Et pour les moustiques en camping? Paraît qu'il y en a à la brunante, mais j'étais au restaurant mexicain à cette heure-là, alors j'ai rien vu.
Après le repas, je suis allé serrer la main du propriétaire, en lui expliquant que je quittais. Puis je l'ai gratifié de deux des vingt mots d'Espagnol que je connais, mais avec un accent parfait: "Adios, Patronne". Et là, il m'a dit d'attendre un instant et est allé me chercher un magnifique T-Shirt, qu'il m'a donné en précisant: "Pour pas que tu nous oublies".
Bin, je vous le dis, on braillait presque comme des veaux. Mais trêve de sentimentalisme, je sais ce que vous voulez, c'est mes stats détaillées: les voiles et les planches que j'ai utilisées en pourcentage, comme j'ai l'habitude de le faire. Désolé, vous les aurez pas.
C'est que je me suis rendu compte que le matos que j'utilise n'a pas beaucoup de rapport avec la réalité. J'ai finalement compris ça la journée où j'étais en 8.4, alors que mon ami Éric se disait surtoilé en 7.5. Le gars pèse au moins 60 livres de plus que moi.
Tenez, avant hier, je voulais partir en 7.4, mais Loopee me faisait des gros signes de désapprobation, alors je suis parti en 5.7. J'ai fini par l'écouter, mais j'ai failli mettre une veste de flottaison tellement ça m'insécurisait. Grosse surprise, je planais tout le temps.
Donc, tout au plus, je vous dirai que j'ai planché 27 jours sur une possibilité de 34. Donc, 7 jours pas de vent mais savamment espacés pour avoir l'impression qu'il a venté tout le temps.
En tout cas, j'ai adoré le Cap en mai. Peut-être qu'il y a moins de grosses journées qu'en avril, mais vous savez quoi, c'est tellement agréable de plancher en shorty.
Et pour les moustiques en camping? Paraît qu'il y en a à la brunante, mais j'étais au restaurant mexicain à cette heure-là, alors j'ai rien vu.